Dans quels cas parle-t-on de réparation du préjudice corporel ?
On parle de préjudice corporel réparable lorsqu’une personne a été victime d’un accident ou de violences ayant entraîné un dommage sous forme d’atteinte à son intégrité et que les circonstances désignent un responsable de celui-ci et/ou une garantie d’assurance à mettre en œuvre.
De multiples faits générateurs de dommages sont susceptibles d’être concernés : il peut s’agir d’accidents de la circulation, d’accidents médicaux, d’accidents du travail ou d’accidents de sports et loisirs…
Il peut s’agir également d’infractions de violences et notamment, dans ce cadre, de violences volontaires ou involontaires ainsi que de négligences.
Dans quels cadres la réparation du préjudice corporel s’inscrit-elle ?
La réparation du préjudice corporel s’inscrit souvent dans le cadre d’une procédure, mais pas systématiquement.
Elle peut intervenir par la voie amiable, cette voie étant privilégiée lorsque les circonstances s’y prêtent et qu’elle permet l’obtention d’une indemnisation à la juste mesure du préjudice subi.
Lorsque la voie amiable échoue ou qu’elle n’a pas pu être envisagée, la réparation du préjudice corporel est recherchée dans le cadre d’une action en justice. Une telle procédure est diligentée devant les juridictions des différents ordres (judiciaire : civil et pénal, administratif) et institutions, en fonction des circonstances. *
Nos engagements et valeurs en matière de réparation du préjudice corporel:
L’intervention de Maître Clémence BOUVIER en matière de réparation du préjudice corporel tend à l’obtention d’une juste indemnisation de la victime et s’inscrit dans une relation de proximité avec son client, impliquant écoute et respect mutuel. Cette démarche passe par une individualisation de chaque cas et une collaboration étroite avec la victime et/ou ses proches.
Le Cabinet défend les intérêts de ses clients en lien étroit avec leur médecin conseil et agit en toute indépendance des compagnies d’assurance.